Dans tous les pays, nos transitions énergétiques doivent intégrer une pression croissante sur les objectifs environnementaux.
Certains d’entre nous ont encore des questions par rapport à ces objectifs : sont-ils légitimes et répondent-ils à un vrai besoin ? J’ai récemment été apostrophé sur ce thème par des chinois qui, avec champ d’observation très urbain, n’en percevaient pas le bien-fondé ni l’urgence. Nous avons eu un échange extrêmement riche.
D’autres, à la tête d’activités menacées par ces transitions, adoptent des postures de déni, dans le cadre de stratégies défensives destinées à gagner du temps.
Je vous invite à consacrer 1h30 de votre temps pour visionner ce film capital.
https://www.youtube.com/watch?v=NNGDj9IeAuI
Regardez-le avec vos collègues, vos pairs ou vos enfants : il donnera lieu à des échanges d’une valeur insoupçonnée pour un décideur ou un stratège.
Aucun décideur politique, aucun dirigeant ou stratège industriel ne peut désormais en ignorer le contenu. L’émergence de nouvelles activités et de nouveaux business models n’est plus une lubie de consultant : cela devient une impérieuse nécessité et nous sommes tous sommés d’obtenir des résultats pour permettre aux acteurs économiques une mutation tout en préservant durablement leur capacité de développement.
Réagissons à la lenteur de la transition française, aux tergiversations règlementaires suisses, à l’essoufflement de la dynamique allemande, aux risques pesant sur la transition britannique, aux difficultés rencontrées par les villes pour s’approprier leur propre transition.
L’ère n’est plus aux concepts et au brassage d’idées mais bel et bien aux réalisations, au changement en profondeur et aux remises en cause. Les changements sont d’ores et déjà de grandes ampleurs mais ceux à venir seront plus importants encore. C’est avec davantage de détermination et créativité que chaque entreprise doit affronter ces nouvelles échéances et assurer sa pérennité.
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